Les 4 principaux avantages de la conservation sous vide pour les aliments

La conservation sous-vide, très utilisée dans la restauration, se développe et c’est une bonne nouvelle. Aristote avait beau dire : « la nature a horreur du vide », il s’agit de la méthode de conservation la plus « naturelle », puisqu’il suffit « tout simplement » de retirer l’air au contact de l’aliment. Notre article vous présente les principaux avantages du sous-vide et vous invite à choisir le meilleur sous-vide (signé biotyfood® évidemment !).

Avantage N°1 – Conservation prolongée, jusqu’à 5 fois plus longtemps

Une réaction chimique connue sous le nom d’« oxydation » se crée lorsqu’un aliment est en contact avec l’air. Cette transformation chimique n’est autre qu’une perte d’électrons par un atome ou un ion constitutif du produit alimentaire. La conséquence principale et visible de cette réaction est le noircissement de la denrée. Banane, pomme, avocat, pomme de terre… : vous avez déjà vécu cette scène. Pour éviter cette oxydation et conserver les qualités gustatives, visuelles et odorantes des aliments, il faut priver l’aliment de tout contact avec l’air. La conservation sous-vide empêche les réactions chimiques, évite noircissement comme moisissures, ce qui a pour effet de considérablement allonger le temps de conservation.

Pomme coupée oxydée par l'air
Pomme coupée oxydée par l’air, commençant à noircir. Crédit : Unsplash

Mise sous-vide alimentaire : une sécurité supplémentaire

Lorsque vous conservez et même réfrigérez vos aliments, ils sont susceptibles d’abriter des bactéries, en particulier s’ils ont été manipulés ou en contact avec des ustensiles malpropres. Certaines de ces bactéries sont dites « aérobies » : ce sont les micro-organismes qui ont besoin d’oxygène pour survivre et se développer.

Certaines bactéries aérobies présentes dans les aliments peuvent être pathogènes, c’est-à-dire qu’elles peuvent provoquer des maladies. Voici quelques exemples de bactéries aérobies pathogènes que vous connaissez probablement :
• Escherichia coli (E. coli) : cette bactérie est souvent associée à des intoxications alimentaires causées par la consommation de viande crue ou insuffisamment cuite, de produits laitiers non pasteurisés ou de légumes contaminés.
• Salmonella, fréquemment trouvée dans les œufs, la viande crue et les produits laitiers.
• Listeria monocytogenes, présente dans les aliments réfrigérés tels que les fromages, les viandes froides et les produits de la mer.
• Staphylococcus aureus, parfois trouvée dans les aliments préparés à l’avance tels que les salades, les sandwichs et les pâtisseries.
La mise sous-vide des aliments permet d’empêcher le développement de ces bactéries aérobies qui ont besoin d’oxygène pour vivre.
A noter : la mise sous-vide bloque une partie des bactéries, mais pas toutes. C’est pour cela que même conservé au réfrigérateur et sous-vide, certains aliments, comme les poissons crus, peuvent développer des bactéries pathogènes (lecture conseillée de l’article que nous avons consacré à ce sujet).

Batchcooking facile
Batchcooking avec des récipients en borosilicate biotyfood® pour une fraicheur zéro plastique et zéro déchet. Crédit : Cherrystone

Avantage N°2 – Possibilité d’organiser à l’avance les repas

Des aliments frais plus longtemps ? Une aubaine dans nos vies si remplies ! Vous le savez sans doute : meal prep et batchcooking ont largement dépassé le stade de la tendance et sont devenus des habitudes pour des milliers de working mums and dads. Cuisiner pour toute la semaine en quelques heures le week-end, tout en limitant ses dépenses et les déchets n’a en effet que des avantages. Or la conservation sous-vide est le meilleur soutien du batchcooking :
> conserver les légumes crus précoupés et prêts pour une salade ? Merci le sous-vide ! 4 jours après conservation, ils sont frais et vitaminés comme au premier jour.

> conserver un plat de viande en sauce du dimanche au jeudi ? Bravo le sous-vide ! Les saveurs et les textures restent parfaitement préservées.

> préparer la soupe pour toute la semaine et ne prélever chaque jour que la quantité nécessaire au nombre de convives ? Parfait le sous-vide ! Rien ne se perd, tout se conserve et reste délicieux.

Avantage N°3 – Maîtrise des dépenses pour plus d’économies et moins de gaspillage !

Quand on s’organise mieux, on dépense moins. On peut acheter en lots ou en vrac avec des prix au kilo plus avantageux, puis stocker sous-vide. Il devient plus accessible d’acheter des produits bio ou sans conservateur, souvent plus fragiles, et de les conserver sans perte. Il est également plus facile de préparer des plats maison, beaucoup moins chers que l’achat de plats préparés industriels. In fine, la conservation sous-vide est un plus au quotidien pour dépenser moins.

Avantage N°4 – Préservation des vitamines et des nutriments

La mise sous-vide des aliments permet également de préserver les qualités nutritionnelles. Effectivement, l’air rend les vitamines des aliments sensibles. Ainsi, avec le temps et à l’air libre, une orange va très vite perdre sa teneur en vitamines C. Il en va de même pour les minéraux. Une étude américaine a même prouvé qu’après ouverture, un jus d’orange pouvait perdre 100% de sa vitamine C par sa dégradation au contact de l’air.

Le sous-vide ne présente que des avantages, à condition de ne pas choisir des solutions à base de plastique. Dans ce cas en effet, vous serez confrontés aux deux désavantages majeurs de la conservation sous-vide à base de sachets plastiques :
• la potentielle contamination de vos aliments par les molécules plastiques (entre autres)
• la production de déchets plastiques peu recyclés.
En mettant sous-vide vos aliments dans les boites de conservation entièrement en verre biotyfood®, vous mangerez en revanche beaucoup plus sainement.

Bibliographie 

J. CADENAS, médecin. Vitamines. 27 Juin 2014 [en ligne].

F. BOGES. Sécurité sanitaire des aliments. 2013-2014 [en ligne].

Germes aérobies mésophiles [en ligne].

FUTURA. Oxydation : qu’est-ce que c’est ? [en ligne].

REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA France AUPRÈS DES NATIONS UNIES À ROME. Pertes et gaspillages alimentaires. 2019 [en ligne].

 

 

 

 

Les avantages de la mise sous-vide 100% verre

La technique de la mise sous-vide des aliments, plébiscitée initialement par les cuisiniers pro, a le vent en poupe. Il est vrai que le sous-vide est idéal pour conserver et préserver les qualités nutritives des aliments frais, crus, cuits, des recettes cuisinées et des restes. Pourtant, l’utilisation de plastique pour la conservation sous-vide peut avoir des conséquences néfastes sur notre santé et l’environnement. Dans cet article, nous vous expliquons comment profiter des avantages du sous-vide tout en minimisant les risques, grâce à l’usage de récipients en verre 100% sans plastique.

Sous-vide, le top de la conservation alimentaire

Préserve les vitamines et les nutriments

La mise sous-vide des aliments préserve leurs qualités nutritionnelles. En effet, l’air rend les vitamines sensibles. Par exemple, avec le temps et à l’air libre, une orange perd très vite sa teneur en vitamines C. La preuve ? Une étude américaine* a prouvé qu’après ouverture, un jus d’orange pouvait perdre 100% de sa vitamine C par sa dégradation au contact de l’air.

Protège les aliments de l’oxydation de l’air

Une réaction chimique connue sous le nom d’« oxydation » se crée lorsqu’un aliment susceptible d’être oxydé est en contact avec l’air. Cette transformation chimique n’est autre qu’une perte d’électrons par un atome ou un ion constitutif du produit alimentaire. La conséquence principale et visible de cette réaction est un noircissement de la denrée. Vous visualisez une banane trop mûre ou encore un avocat laissé quelques heures à l’air libre ? C’est ça !
Pour pallier cette contrainte organoleptique et conserver les qualités gustatives, visuelles et odorantes, il faut alors priver l’aliment de tout contact avec l’air. La technique de mise sous-vide va venir retirer tout l’air disponible dans une boîte contenant l’aliment ; cela bloquera toutes les réactions chimiques qui se créent au contact de l’air… évitant ainsi le noircissement. Vous avez tout compris.

Détruit les bactéries aérobies

Un peu de science du vivant (on fait vite, promis !) : la classification des bactéries peut se faire selon leur milieu de vie préférentiel :
–    Si les bactéries ont besoin d’oxygène pour vivre, elles sont appelées « bactéries aérobies ».
–    Celles vivant en l’absence d’oxygène sont nommées « bactéries anaérobies ».
–    Les « bactéries aéro-anaérobies facultatives » peuvent, quant à elles, se multiplier avec ou sans oxygène.

Lors de la conservation des aliments en milieux classiques, comme le placard ou le réfrigérateur, les bactéries aérobies sont favorisées. Or, leur détection dans les denrées alimentaires traduit une altération. En effet, ces bactéries amoindrissent la qualité intrinsèque de l’aliment (goût, odeur, aspect) et se révèlent être des catalyseurs du vieillissement alimentaire. En enlevant l’air, l’appareil de mise sous-vide vient interdire la vie des bactéries aérobies et prolonge ainsi la durée de vie des aliments.

Spoiler alert
La mise sous-vide bloque une partie des bactéries, mais pas toutes ! Par exemple, certaines bactéries anaérobies se développent sur le poisson. C’est pour cela que même conservé au congélateur et sous-vide, un aliment peut s’altérer. Pour connaître le temps de conservation sous-vide que nous vous recommandons, consultez votre application biotyConnect ou notre Guide des Aliments.

Sous-vide 100% verre, le meilleur pour votre santé et pour la nature

La plupart des machines sous-vide proposées à la vente fonctionnent avec des sacs plastiques jetables, quelques-unes avec des boites en verre et des couvercles en plastique. Une seule au monde est utilisable avec des contenants entièrement en verre : celle inventée par biotyfood®.

Or il est désormais scientifiquement démontré que le plastique a des effets sur la santé humaine. Seule une mise sous-vide dans des boites de conservation entièrement en verre permet de prolonger avec certitude la conservation et les bienfaits des aliments sans migration de particules plastiques. En 2019 déjà, un rapport commandé par l’ONG de protection de l’environnement WWF montrait qu’ “un être humain ingère en moyenne 5 grammes de plastique chaque semaine, soit l’équivalent du poids d’une carte de crédit.Seul le verre est absolument inerte et peut garantir la protection de votre santé.

Au-delà de ses effets potentiellement toxiques sur l’homme, le plastique est un fléau environnemental. Une fois utilisé pour conserver sous-vide des aliments, le plastique finit à la poubelle. Que devient-il alors ? Selon une étude de la Fondation Ellen MacArthur, seulement 14% des déchets plastiques dans le monde sont effectivement recyclés, tandis que 40% sont mis en décharge et 32% finissent dans l’environnement, notamment dans les océans. En France, le taux de recyclage des déchets plastiques est d’environ 26%, selon le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire. Cela signifie que la majorité des déchets plastiques en France sont encore incinérés ou mis en décharge, ce qui crée également des impacts négatifs sur l’environnement.

Vous réfléchissez à vous équiper d’une machine sous-vide ? Au-delà de son prix ou de son design, considérez soigneusement son impact sur votre santé et sur l’environnement. Et choisissez la solution la plus respectueuse et durable, il n’y en a qu’une 👀 !

Bibliographie 

F. BOGES. Sécurité sanitaire des aliments. 2013-2014 [en ligne].

Germes aérobies mésophiles [en ligne].

FUTURA. Oxydation : qu’est-ce que c’est ? [en ligne].

REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA France AUPRÈS DES NATIONS UNIES À ROME. Pertes et gaspillages alimentaires. 2019 [en ligne].

J. CADENAS, médecin. Vitamines. 27 Juin 2014 [en ligne].

Journal of the American Dietetic association, avril 2002, vol. 102 : p. 525.

Pourquoi et comment supprimer le plastique de votre conservation alimentaire ?

Dans cet article, nous vous expliquons pourquoi il est important de bannir les plastiques de votre conservation alimentaire. « D’ici 2050, toutes les espèces d’oiseaux marins mangeront du plastique régulièrement » (National Geographic). Choquant, mais peu étonnant : 6,9 milliards de tonnes de déchets plastique ont été produits depuis 2015 dans le monde et 79% ont fini dans la nature. Et, c’est sans surprise le marché de l’emballage qui se place sur la première marche du podium des déchets plastique. Le secteur de l’agroalimentaire constitue le premier client de ce marché avec 65% des débouchés en Europe. Les plastiques sont-ils tous à mettre dans le même sac ? Quelles conséquences ont-ils sur notre santé ? On vous dit tout.

Plastiques et plastiques alimentaires

Il existe sept principaux types de plastique : PET (Polytéréphtalate d’éthylène), PEHD (Polyéthylène à Haute Densité), PVC (Polychlorure de vinyle), PEBD (Polyéthylène basse densité), PP (Polypropylène), le PS (Polystyrène) et les autres. Tous se distinguent les uns des autres par leur composition et leur utilisation finale. Bien que des avancées aient vu le jour concernant les matières premières des plastiques, la source première de fabrication reste le pétrole. Par exemple, pour fabriquer 1 kg de PET, il faut 1.9 kg de pétrole brut.

L’ensemble des plastiques alimentaires génère une production colossale de déchets : 40% est destiné à un usage unique. En France, ce pourcentage augmente jusqu’à 45,5 % selon Muryel Jacque (Journaliste au service Marchés, Les Echos, 2020).

Dans le secteur de l’agroalimentaire, le plastique le plus utilisé est le PP. Il sert pour la fabrication de barquettes réutilisables, de gobelets ou de bouchons de bouteille. Ce plastique présente des avantages comme sa rigidité et sa souplesse. Il est considéré comme le plastique le moins dangereux, mais il présente également des inconvénients, comme tous les autres plastiques.

Avec l’avancée de la recherche sur les risques de contamination, les précautions d’utilisation des plastiques alimentaire se sont multipliées. Par exemple : « jeter les emballages de plastiques présentant des signes d’usure », « ne jamais réchauffer un plastique au micro-ondes ». Une complexité difficile à appliquer au quotidien, une ignorance des risques qui perdure… et des effets sur la santé humaine qui ne feront que s’amplifier si on y change rien.

Les principaux risques des différents plastiques :

Type de plastique

Utilisation

Problèmes

PP (polypropylène)

Barquettes réutilisables, gobelets, bouchons de bouteille, tasses…

Pas considéré comme dangereux mais des additifs lui sont ajoutés pour lui rajouter des propriétés. Ces additifs pourraient migrer dans les aliments.

PET (polyéthylène téréphtalate)

Bouteilles d’eau, sacs plastiques de cuisson, barquettes…

Migration de traces de trioxyde d’antimoine : cancérigène si exposition à la chaleur.

PEHD (polyéthylène haute densité)

Bouteilles de lait, boîtes alimentaires rigides…

Migration de substances chimiques vers les aliments non égale à zéro.

PVC (polychlorure de vinyle)

Film étirable

Peut contenir des phtalates et du Bisphénol A, migration de substances chimiques toxiques.

PEbd (polyéthylène basse densité)

Sacs de congélation, sacs de grandes surfaces, bols jetables…

Migration de substances chimiques vers les aliments non égale à zéro.

PS (polystyrène)

Gobelets, couverts jetables, emballages yaourts…

Contient du styrène qui migre lors du chauffage, cancérigène pour l’humain.

Divers autres (polycarbonate…)

Biberons

Migration de Bisphénol A dans les aliments.

Source : voir bibliographie en fin d’article

Une étude Atlas du plastique 2020 montre les dangers invisibles du plastique pour la santé humaine.
Une étude Atlas du plastique 2020 montre les dangers invisibles du plastique pour la santé humaine.

Zoom sur… l’usage du PET dans les sachets de thé

Un thé infuse à 95°C. Une étude canadienne publiée dans ACS Environmental Science & technology en 2019 a prouvé qu’à cette température, il y avait un relargage de plus de 2 millions de particules de plastique d’une taille comprise entre 1 et 150 micromètres et près de 15 milliards de particules mesurant moins d’1 micromètre. L’article affirme “qu’au bout du compte, ce sont 13 à 16 microgrammes de plastique qui finissent dans l’eau d’un simple tasse de thé.

 

Le PCV, utilisé dans la fabrication de certains sacs de conservation alimentaire

Le PVC quant à lui peut relarguer des phtalates dans les aliments, ce qui provoque l’apparition de certaines tumeurs du foie et du testicule (Inserm. Expertise Collective : Cancer et environnement. 2008). Lors d’une soudure thermique sur un sac en plastique contenant des aliments, le risque est probablement multiplié.

De plus en plus de plastique sont controversés, voire interdits, à cause de leurs effets sur la santé humaine et des dégâts qu’ils causent sur l’environnement. Les industriels se sont donc mis à chercher des alternatives. Sont-elles toutes plus saines ?

Le cas du Tritan

Prenons l’exemple du Tritan, un polyester fabriqué par l’entreprise Eastman, qui détient une certification “Apte au Contact Alimentaire”. Le tritan a été conçu notamment pour remplacer le polycarbonate dans le quotidien alimentaire*. Mariah Blake, reporter chez Mother Jones, affirme que sur les conseils de Sciences, l’entreprise Eastman a commandé une étude sur la structure moléculaire et la teneur en œstrogènes synthétiques de substances données. Cette étude montre que le Tritan, censé être sans danger, contient une composantes, le phosphate de triphényle, qui montre une activité œstrogénique plus importante que le BPA. Le couvercle plastique des boîtes alimentaires en plastique “Tritan” pourrait donc présenter une activité œstrogénique (inutile de préciser que l’industrie du plastique américaine s’est démenée pour contrer ces observations lors de batailles juridiques et scientifiques qui ont duré plusieurs années).

L’alternative saine au plastique : le verre

A la maison, dans nos placards et nos frigos, nos aliments sont traditionnellement conservés dans des boîtes en plastique. Il faut aujourd’hui prendre en compte leur dangerosité sur la santé et adopter :
• un mode de conservation plus sain pour l’environnement et pour votre santé,
• un mode de conservation dont l’inertie des matériau ne peut pas être compromise par des facteurs externes comme la température (en cas de fortes chaleurs, de soudure, de passage au four par exemple).

Le verre est plus énergivore dans sa fabrication, mais :
• sa matière première existe en grande quantité sur la planète (sables, roches),
• il est recyclable et/ou durable (le verre borosilicate ne se recycle pas encore, mais sa solidité le rend extrêmement durable),
• il est inerte : aucune migration de molécule ne s’opère entre une boite et son couvercle en verre (les deux doivent être en verre) et vos aliments.

* Souvenez-vous : le Polycarbonate était par exemple utilisé dans la fabrication de biberons. Des études menées par L’EFSA (European Food Safety Authority) ont été faites en 2015, réévaluées en 2019 puis de nouveau en 2022. À forte dose, le BPA nuirait aux reins, au foie, mais également au système reproducteur. L’usage de ce plastique est dorénavant interdit dans la fabrication de biberons dans l’Union Européenne.

 

Bibliographie

M. JACQUE. La crise du plastique en 10 graphiques. Les Échos. 2020. [en ligne].

EFSA. Bisphénol A. 2022. https://www.efsa.europa.eu/fr/topics/topic/bisphenol

RANDSTAD. Fin du plastique à usage unique, l’agroalimentaire innove. 09 Février 2022 [en ligne].

NATIONAL GEOGRAPHIC. Le plastique en 10 chiffres [en ligne].

J. LETOURNEL, JC. LETAVERNIER, O. ROULLAND, A. THIBAULT, V. BEN OTHMANE, M. TRICHÈS, S. DJETEBAYE. L’industrie française de l’emballage en chiffres.  2008 [en ligne]. 

OOREKA. Polypropylène et santé [en ligne].

M. BLAKE. L’emballage écologique. 22 Février 2016 [en ligne].

Photo de Marc Newberry sur Unsplash